jeudi 28 février 2013

Vous ne rêvez pas !


Incroyable...

 
 
 


Après les stages de culture arabe pour la gendarmerie nationale
Les infirmiers suivent une formation à la mosquée pour apprendre à “soigner les croyants” !

Il fut un temps où le personnel médical devait apprendre à soigner les patients.
Nous entrons dans une ère où il doit apprendre à soigner les croyants.
Bienvenue dans le petit monde ubuesque du multiculturalisme.
Les élèves infirmiers de Limeil ont des cours pour réussir à concilier la pratique religieuse des patients et les soins.
Ils ont découvert les rites musulmans à la mosquée de Créteil.

Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur blanc dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec une bonne gestion des soins ? Une trentaine d’étudiants de l’Institut de formation en soins infirmiers (Ifsi) de l’hôpital Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.

Pour les uns, pas question d’être examiné par un médecin de sexe masculin.
Dans un hôpital, il n’est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons religieuses.…

« Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième année ont fait entendre leurs réticences au motif qu’ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant doit rester dans une position neutre, les établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces futurs infirmiers auront à prendre en charge des patients qui viennent avec leur histoire », explique Anna Giacomini, formatrice à l’Ifs.

Avant d’engager les discussions, Ibrahim, de l’UAMC, remercie les étudiants.
L’infirmier non-musulman doit ramasser le Coran du patient en se servant d’une couverture.
Les étudiants ont multiplié les questions. « Il paraît qu’un non-musulman ne peut pas toucher un Coran écrit en arabe.
Comment fait-on si un patient hospitalisé le laisse tomber du lit ?» demande une étudiante.
Réponse : «Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse barrière. »
« Si un patient ne peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons médicales, comment peut-il faire ses ablutions avant la prière ?» interroge un autre étudiant.
« Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet passer cette pierre pour se purifier s’il ne peut pas utiliser l’eau », indique l’intervenant.

Don du sang et don d’organes, jeûne du ramadan et grossesse, crémation… tout est passé en revue par les futures blouses blanches.
Dans ce cadre, la mosquée accueille également les élèves de l’Ifsi de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil.
Des discussions sont également en cours avec l’hôpital Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif.

 

LE VER EST DANS LE FRUIT, DANS L’ARMEE COMME DANS LE PAYS !


Et s’il y avait un conflit entre la France et l’Algérie ? Aïcha, attirée par l’armée, ne s’imagine pas faire la guerre contre les siens : Dans ma tête, je suis algérienne, je ne me sens pas française. Pour moi, l’armée c’est pas le fait de se lever pour une nation, c’est découvrir un métier. »

Un rapport du Ministère de la Défense de janvier 2007 invoque « l’attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation » des JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine) et de « la surdélinquance au sein même de leur régiment. »

Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité, les JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine, dans le langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de la bière en regardant des films pornos et qu’à la moindre réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant le racisme de l’officier qui, convoqué par le colonel, est obligé de revenir sur la sanction.

À Saint-Cyr, on envisage la mise en place d’un système inspiré de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées de zones d’éducation prioritaires. «L’objectif c’est de pouvoir appeler un jour le général Ben Babrouf ou le colonel Mohamed »
L’état- major.html (source Dans la Marine, les officiers n’oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d’engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier. Après s’être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins. Ces «beurs » réagissaient contre une punition collective infligée à la suite d’une rébellion survenue lors d’une mission au large de la Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

Les jeunes « Français » d’origine maghrébine commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission.
L’aumônier musulman en chef des armées françaises prépare l’organisation du prochain pèlerinage à La Mecque pour une quarantaine de soldats et une équipe d’aumôniers. Le projet lui tient particulièrement à cœur.

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