jeudi 28 février 2013

10'15 en Velaisie


Merci a Laurent Russier pour le verbatim de ce reportage de France 3 Auvergne (effacé de leur site !) qui met en lumière tout ce que certains nient avec tant de force et parfois de menaces en Pays Ponot !




























JT 19h20, Journal Régional FR3 Auvergne– 22 février 2013
Portrait signé Gérard Rivollier et Elodie Brot-Monnier.
Pour parler de Laurent Wauquiez, direction Le Chambon sur Lignon, la Mairie, où nous retrouvons Mme Wauquiez, Maire, et  mère.

(sur l'écran, gros titre = l'enfance d'un chef)

"Laurent est donc le quatrième d'une fratrie, le dernier, il y a deux garçons qui entourent deux filles, c'est un enfant qui a du charme, que ses sœurs adulent, mais en même temps c'est le quatrième donc il veut exister. Dans la famille il ne détestait pas, même s'il était le plus petit, il ne détestait pas jouer un peu le chef (rire)"
37 ans plus tard au Puy et en Haute-Loire, Laurent Wauquiez aime toujours faire le chef. Avec sa célèbre veste rouge, il est à la fois souvent absent et très présent, surtout en fin de semaine, à l'aise avec tous, comme ici pour flatter les éleveurs de fin gras, un homme pressé mais disponible.

(Sur l'écran, titre = le surdoué de la classe ?)

Gérard Roche, sénateur UDI, Président du conseil général de la Haute-Loire :"Ce qui me plaît, c'est euh, sa disponibilité, euh, ça fonctionne très vite intellectuellement, mais euh, c'est vrai que sa jeunesse des fois nous pose un peu des problèmes parce qu'il va plus vite que nous"
Jean-Pierre Marcon, ancien député suppléant de Laurent Wauquiez : "J'ai envie de lui dire, "Piano" de temps en temps, j'ai envie de lui dire "tu t'exprimes avec des vocabulaires un peu forts des fois, tu vas un peu trop vite en besogne, calme-toi, tu as tout à gagner à avoir un comportement beaucoup plus prudent que celui que tu as quelquefois""
Adrien Gouteyron, ancien sénateur de Haute-Loire (UMP) : "Il a les moyens de son ambition, et et  quel est l'homme politique qui n'a pas d'ambition ? Donc euh  on ne peut pas lui reprocher l'ambition"
Souvent aux avant-postes pour défendre l'emploi, le député de Haute-Loire soigne sa communication et son image, mais qu'est-ce qui le fait tant courir ?

(Sur l'écran, titre = un pro de la com)

Raymond Vacheron, CGT Haute-Loire : "Toutes les fois qu'un conflit, une histoire l'aident dans sa promotion, il est là, mais toutes les fois que ça lui coûte, il est absent."
Mère de Wauquiez : "Laurent c'est quelqu'un qui s'est toujours intéressé aux autres, et il me semble que c'est un élément important, quand on fait de la politique, d'être capable d'entendre ce que les gens ont à vous dire"
Raymond Vacheron, CGT Haute-Loire :"Et puis il veut faire taire tous ceux qui s'opposent à lui et il cherche que des gens qui lui soient soumis, qui lui soient fidèles et qui lui résistent pas."
Le profil du gendre idéal, disent ses adversaires, mais dans la réalité du quotidien ils décrivent un homme ambitieux bien différent de l'image qu'il renvoie.

(Sur l'écran, titre = l'ombre et la lumière)

Françoise Gauthier-Willems, élue minoritaire du Puy-en-Velay : "Quand nous lui adressons la parole en Conseil Municipal, quand nous lui posons une question, il tourne systématiquement le dos, il ne nous écoute pas, il se tourne vers les services, il a un mépris et un dédain dans sa façon de nous traiter qui est insupportable."
Redouté sans doute autant qu'admiré dans son propre camp…ses amis politiques de Haute-Loire font parfois entendre quelques nuances, sa petite phrase sur "l'assistanat cancer de la société" a été diversement appréciée.

(sur l'écran, Titre = plus tout à fait consensuel)

Jean-Pierre Marcon, ancien député suppléant de Laurent Wauquiez :"Mais il faut quand même pas, il faut quand même pas oublier tous ceux qui dans notre pays sont laissés pour compte quand même."
Gérard Roche, sénateur UDI, Président du conseil général de la Haute-Loire: "Je suis pour une réconciliation des Français, je crois qu'il faut pas faire une séparation entre les gens qui sont en état d'exclusion, les chômeurs, les gens qui sont au Smic, les classes moyennes"
Raymond Vacheron, CGT Haute-Loire : "C'est toujours de la promotion pour faire peuple etcetera, et quand on gratte un peu, c'est vraiment réactionnaire, il est de la droite très à droite "
Trop diviseur, à l'image d'un Sarkozy qui a été son mentor, trop pressé, trop perso…

(apparition sur l'écran titre = l'homme de demain?)

voilà les critiques qui apparaissent en filigrane.
Jean-Pierre Marcon, ancien député suppléant de Laurent Wauquiez: "Il fait un peu cavalier seul…heureusement il a de…bonnes idées, il avance bien, il est dans le droit chemin"
Adrien Gouteyron, ancien sénateur de Haute-Loire (UMP): "Quelle société veut-il en France? Que veut-il pour les français, et quelle place de la France? Comment voit-il la France dans le monde? Quand on a de l'ambition, ben il faut déterminer des objectifs qui sont eux aussi ambitieux."
(mère de Wauquiez, à qui le journaliste en off demande" …donc, les défauts??) :" Je vous ai dit que je vous les dirai pas (ah! ah! ah!)"

La Classe !


La décontraction ça ne s'apprend pas ni ne s'improvise. On l'a ou pas !

Eux ils ont ça :













Nous on a ça :













Shame on us...






Vous ne rêvez pas !


Incroyable...

 
 
 


Après les stages de culture arabe pour la gendarmerie nationale
Les infirmiers suivent une formation à la mosquée pour apprendre à “soigner les croyants” !

Il fut un temps où le personnel médical devait apprendre à soigner les patients.
Nous entrons dans une ère où il doit apprendre à soigner les croyants.
Bienvenue dans le petit monde ubuesque du multiculturalisme.
Les élèves infirmiers de Limeil ont des cours pour réussir à concilier la pratique religieuse des patients et les soins.
Ils ont découvert les rites musulmans à la mosquée de Créteil.

Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur blanc dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec une bonne gestion des soins ? Une trentaine d’étudiants de l’Institut de formation en soins infirmiers (Ifsi) de l’hôpital Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.

Pour les uns, pas question d’être examiné par un médecin de sexe masculin.
Dans un hôpital, il n’est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons religieuses.…

« Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième année ont fait entendre leurs réticences au motif qu’ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant doit rester dans une position neutre, les établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces futurs infirmiers auront à prendre en charge des patients qui viennent avec leur histoire », explique Anna Giacomini, formatrice à l’Ifs.

Avant d’engager les discussions, Ibrahim, de l’UAMC, remercie les étudiants.
L’infirmier non-musulman doit ramasser le Coran du patient en se servant d’une couverture.
Les étudiants ont multiplié les questions. « Il paraît qu’un non-musulman ne peut pas toucher un Coran écrit en arabe.
Comment fait-on si un patient hospitalisé le laisse tomber du lit ?» demande une étudiante.
Réponse : «Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse barrière. »
« Si un patient ne peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons médicales, comment peut-il faire ses ablutions avant la prière ?» interroge un autre étudiant.
« Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet passer cette pierre pour se purifier s’il ne peut pas utiliser l’eau », indique l’intervenant.

Don du sang et don d’organes, jeûne du ramadan et grossesse, crémation… tout est passé en revue par les futures blouses blanches.
Dans ce cadre, la mosquée accueille également les élèves de l’Ifsi de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil.
Des discussions sont également en cours avec l’hôpital Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif.

 

LE VER EST DANS LE FRUIT, DANS L’ARMEE COMME DANS LE PAYS !


Et s’il y avait un conflit entre la France et l’Algérie ? Aïcha, attirée par l’armée, ne s’imagine pas faire la guerre contre les siens : Dans ma tête, je suis algérienne, je ne me sens pas française. Pour moi, l’armée c’est pas le fait de se lever pour une nation, c’est découvrir un métier. »

Un rapport du Ministère de la Défense de janvier 2007 invoque « l’attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation » des JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine) et de « la surdélinquance au sein même de leur régiment. »

Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité, les JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine, dans le langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de la bière en regardant des films pornos et qu’à la moindre réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant le racisme de l’officier qui, convoqué par le colonel, est obligé de revenir sur la sanction.

À Saint-Cyr, on envisage la mise en place d’un système inspiré de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées de zones d’éducation prioritaires. «L’objectif c’est de pouvoir appeler un jour le général Ben Babrouf ou le colonel Mohamed »
L’état- major.html (source Dans la Marine, les officiers n’oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d’engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier. Après s’être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins. Ces «beurs » réagissaient contre une punition collective infligée à la suite d’une rébellion survenue lors d’une mission au large de la Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

Les jeunes « Français » d’origine maghrébine commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission.
L’aumônier musulman en chef des armées françaises prépare l’organisation du prochain pèlerinage à La Mecque pour une quarantaine de soldats et une équipe d’aumôniers. Le projet lui tient particulièrement à cœur.

La Chasse au Scoop en Afrique !


Tant d'amateurisme et d'impunité, pour ce gouvernement, nous sont maintenant insupportables à l'heure où tant de Français sont mis à l'amende fiscale pour le simple fait de gagner leur vie honnêtement, dignement, discrètement...


Otages au Cameroun : la grosse bourde de Kader Arif




Le ministre délégué aux Anciens combattants , Kader Arif, en août dernier. 
Crédits photo : CHARLY TRIBALLEAU/AFP

L'opposition a vivement critiqué le ministre délégué aux Anciens combattants, qui a annoncé la libération des Français enlevés au Cameroun, avant de revenir sur sa déclaration.

À quoi pensait donc Kader Arif en annonçant ce jeudi matin, devant l'Assemblée nationale, la libération des sept Français enlevés au Cameroun, sans attendre de confirmation officielle? «Juste avec la prudence d'usage... mais je viens d'avoir comme information, à confirmer, mais il semble qu'elle est confirmée, que nos otages au Cameroun ont été libérés», a en effet déclaré le ministre délégué aux Anciens combattants, devant l'hémicycle. Une nouvelle qui a provoqué les applaudissements sur tous les bancs. Mais quelques minutes plus tard, après avoir fébrilement consulté son téléphone, il a repris la parole: «Il s'agissait d'informations transmises par voie de presse, il n'y a pas pour le moment de confirmation officielle à ce stade» de la libération, a déclaré le ministre aux députés. «S'il y avait des informations, elles seraient transmises de manière officielle et pas seulement par ce qui est exprimé dans les médias ce matin», a-t-il poursuivi.
 

Mais le mal était fait. Le directeur du centre de crise du ministère français des Affaires étrangères, Didier Le Bret, s'est empressé de démentir l'information. «Dès le début de la matinée, dès que la rumeur a commencé à circuler, le Quai d'Orsay, à travers le centre de crise, a bien évidemment informé au premier les familles de ce que cette information n'était pas recoupée et qu'il fallait la prendre avec la plus grande prudence», a expliqué Didier Le Bret. Le ministre camerounais de l'Information, Issa Tchiroma Bakary, a pour sa part parlé de «folle rumeur».

«Expression du bordel au gouvernement»


Cette annonce prématurée, dans une affaire si délicate - quand on pense notamment à l'attente insoutenable pour la famille des otages - a provoqué l'infdignation de l'opposition: Kader Arif ne devait pas s'exprimer avant que cela soit officiel, et ce n'était d'ailleurs pas à lui de faire une telle annonce. L'ancien ministre de la défense Défense Hervé Morin (UDI) a ainsi estimé que Kader Arif n'était tout simplement «pas dans son rôle». Face à «un ministre délégué aux Anciens combattants qui veut se la jouer et annoncer une nouvelle, il faut que le Premier ministre mette de l'ordre dans son gouvernement», a-t-il ajouté.

Même incompréhension à l'UMP, dont le chef de file des députés Christian Jacob a parlé d' «erreur grave». «Sur des sujets extrêmement sensibles, il faut toujours prendre le temps d'avoir toutes les confirmations nécessaires du Quai d'Orsay», a recommandé le député-maire de Provins (Seine-et-Marne).

Sur Twitter, Valérie Debord, déléguée générale de l'UMP, estime qu'Arif a commis une faute

la BPI, oui, mais en attendant mieux...


Ségo spécialiste en communication ?
On s'en souvient bien...
La "normalitude" en hollandie, quoi... !




Jean-Pierre Jouyet, président de la Banque Publique d'investissement, vient d'annoncer qu'il proposerait demain le nom de Ségolène Royal pour la vice-présidence de la BPI à son premier conseil d'administration. "Compte tenu de ses capacités, si j'ose m'exprimer ainsi, en terme de communication, elle pourra jouer un rôle important en tant que porte-parole de la BPI", a-t-il ajouté sur France Inter.

"Comme c'est un conseil paritaire, le fait qu'il y ait un président homme et une vice-présidente femme est une bonne chose et puis c'est un tandem entre un haut fonctionnaire et une grande responsable politique", a-t-il poursuivi. "Je pense qu'elle saura bien porter la parole de la Banque publique d'investissement sur le plan politique". 

Cette structure est chargée d'apporter un soutien financier aux petites et moyennes entreprises et aux entreprises de taille intermédiaire. La BPI, dont l'Etat et la Caisse des dépôts et consignations (CDC) sont actionnaires, doit permettre de réunir dans chaque région, grâce à des guichets uniques, plusieurs structures déjà existantes, notamment le Fonds stratégique d'investissement (FSI), OSEO - la banque des PME - et CDC Entreprises, une filiale de la CDC.

Faites ce que je dis, pas ce que je fais !
















A ce rythme là c'est pas un quinquennat de retard qu'on va se ramasser mais une révolution !
Forcément cet incompétent restera dans l'Histoire mais pas pour ce que les gauchistes croient...


LES 60 RATÉS DE FRANÇOIS HOLLANDE. 


1. 6 mai – Le président « normal » prend un jet privé le soir de son élection.

À peine élu, le président « normal », qui jure qu’il ne se déplacera qu’en train saute dans un jet privé pour rallier Paris.
--------------------
2. 6 mai – Plus de drapeaux étrangers que de français à la Bastille.

François Hollande va saluer ses partisans place de la Bastille, à Paris. Il s’exprime « sans ciller face à une foule qui arbore plus de drapeaux roses, rouges et étrangers que de drapeaux tricolores
--------------------
3. 9 mai – Premier reniement : François Hollande renonce à bloquer le prix de l’essence.

François Hollande l’avait pourtant promis le 20 janvier 2012. Avant même son investiture, il renie un de ses engagements phares, dont nous n ‘avions cesse de dénoncer la démagogie.
--------------------
4. 15 mai – Une cérémonie d’investiture marquée par la mesquinerie.

Dans la cour de l’Élysée, François Hollande refuse ostensiblement de raccompagner Nicolas Sarkozy. Dans son premier discours. il rend hommage à l’action de tous les présidents qui l’ont précédé, sauf Nicolas Sarkozy. Grossièreté et inélégance sont au rendez-vous.
--------------------
5. 15 mai – François Hollande nomme un Premier ministre condamné par la justice.

François Hollande avait déclaré, le 12 avril 2012, dans le JDD : « Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes, jugées et condamnées. » Jean-Marc Ayrault est nommé Premier ministre alors qu’il a été condamné à six mois de prison avec sursis en 1997, pour octroi illégal de contrats publics.
--------------------
6. 16 mai – L’imposture de la réduction des salaires des ministres.

Jean-Marc Ayrault annonce une baisse de 30% du salaire des ministres, mais son gouvernement compte 14 membres de plus que le premier gouvernement de Nicolas Sarkozy. Au final, ce gouvernement pléthorique coûtera plus cher aux contribuables français
--------------------
7. 17 mai – Premier couac gouvernemental sur la semaine scolaire de cinq jours.

Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale annonce sans concertation le retour de la semaine de cinq jours à l’école primaire … Il est désavoué par Jean-Marc Ayrault.
--------------------
8. 20 mai – Retrait précipité d’Afghanistan ; la France perd en crédibilité internationale.

Au mépris de nos engagements internationaux, François Hollande annonce un retrait précipité de nos troupes combattantes d’Afghanistan.
--------------------
9. 29 mal – Limogeages de hauts fonctionnaires en raison de leur orientation politique.

François Hollande annonce le limogeage de trois hauts fonctionnaires jugés trop proches de Nicolas Sarkozy. La construction d’un État-PS est en marche. Aujourd’hui, le « nettoyage » se poursuit.
--------------------
10. 4 Juin – Marisol Touraine refuse d’être auditionnée par le Parlement au sujet du décret sur la réforme des retraites.

Pour la première fois sous la Vème République, un ministre refuse d’être auditionné par une commission parlementaire.
--------------------
11. 5 juin – Le gouvernement s’attaque au régime de l’auto entrepreneur.

Le gouvernement lance une charge violente contre les auto-entrepreneurs accusés de créer de la « concurrence déloyale ». C’est le début d’une longue litanie d’attaques contre tous les Français qui prennent des risques pour créer de l’activité dans notre pays.
--------------------
12. 5 juin – Cécile Duflot veut dépénaliser le cannabis.

Cécile Duflot plaide pour la dépénalisation du cannabis. Plutôt que d’exiger sa démission, Jean-Marc Ayraull répond que « le gouvernement n’a rien dit sur ce sujet ».
--------------------
13. 12 juin – Tweet de Valérie Trierweiler ; les Français pris en otages par les problèmes de couple de François Hollande.

La compagne du chef de l’État soutient officiellement l’opposant à Ségolène Royal lors des élections législatives. Les Français se retrouvent pris dans un imbroglio sentimental. François Hollande avait pourtant affirmé le 6 mars 2012 : « Je respecte la vie privée, y compris celle du président de la République. Mais je ne pense pas qu’elle ait besoin de s’exhiber ».
--------------------
14. 29 juin – Le récépissé pour les contrôles d’identité est enterré.

Le 30ème engagement de François Hollande consistait à mettre en place un récépissé pour lutter contre les contrôles d’identité au faciès. Le 29 juin. Manuel Valls déclare : « Je ne veux pas imposer un dispositif qui. très vite. tournerait au ridicule et serait inopérant.
--------------------
15. 2 juillet – Parution du décret sur la retraite à 60 ans.

Le retour partiel à la retraite à 60 ans ? Une décision irresponsable : quand on vit plus longtemps, il faut travailler plus longtemps. Une décision financée par une hausse des cotisations pour tous les salariés.
--------------------
16. 14 juillet – François Hollande s’en prend à la famille Peugeot.

Le président qui voulait rassembler accuse la famille Peugeot de « mensonge » … C’est le début d’une stratégie de recherche de bouc émissaire, pour masquer la faiblesse du gouvernement.
--------------------
17. 17 juillet – Taxation des heures supplémentaires.

La gauche s’ attaque aux classes moyennes et populaires et décourage le travail : près de 9 millions de salariés qui bénéficiaient de ce dispositif vont perdre en moyenne 500 € environ par an.
--------------------
18. 17 juillet – Doublement de l’imposition de l’épargne salariale.

La participation et l’intéressement voulus par le général de Gaulle pour favoriser la cohésion sociale et récompenser les salariés sont battus en brèche. Près de 9 millions de salariés risquent de perdre en moyenne plus de 250 € par an.
--------------------
19. 17 juillet – Suppression de la TVA anti-délocalisation.

Le gouvernement porte atteinte à la compétitivité de nos entreprises et pénalise l’emploi.
--------------------
20. 19 Juillet – Rétablissement des droits de succession.

Nicolas Sarkozy avait exonéré de droits de succession 95% des Français. La gauche rétablit et augmente les droits de succession pour tous.
--------------------
21. 20 juillet – Le PS rend gratuite l’aide médicale d’Etat (AME) pour les clandestins.

Les députés PS suppriment la franchise de 30 € pour bénéficier de l’AME. Les clandestins profitent ainsi de soins 100% gratuits à la différence d’une écrasante majorité de Français.
--------------------
22. 20 juillet – La gauche supprime la prise en charge des frais de scolarité pour les Français établis hors de France.

Alors que la gauche trouve des crédits pour rendre gratuits les soins des clandestins, elle fait des économies sur la scolarisation des Français résidant à l’étranger.
--------------------
23. 3 août – Cécile Duflot distribue des Légions d’honneur à ses amis.

La presse révèle que la ministre Cécile Duflot, dirigeante d’ Europe Écologie-Les Verts. a distribué des légions d’honneur à une quinzaine d’ amis élus verts, socialistes ou communistes, mais n’a distingué aucun élu d’opposition. Sectarisme et népotisme se disputent le pouvoir..
--------------------
24. 7 août – Christiane Taubira renie la promesse de campagne de François Hollande sur les centres éducatifs fermés.

Christiane Taubira affirme qu’il faut sortir du « fantasme » selon lequel les centres éducatifs fermés constituent « la » solution en matière de délinquance juvénile. Dans son engagement n°52, François Hollande s’était pourtant engagé à en doubler le nombre.
--------------------
25. 17 août – Imbroglio sur la question des Roms.

Alors que certains camps de Roms sont démantelés, Cecile Duflot déclare dans Libération : « Stigmatiser sur une base ethnique une population déjà discriminée et expulser, dans une absurde et coûteuse logique d’objectif chiffré – comme l’a fait le précédent gouvernement – est non seulement honteux, c’est aussi inefficace ».
--------------------
26. 24 août – Pataquès sur le retour de la publicité sur les chaines publiques.

Jérôme Cahuzac affirme que « se posera la question, ou bien une taxe de plus, ou bien la publicité à la télévision ». La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti lui répond que « cette proposition n’a pas été retenue par le gouvernement ».
--------------------
27. 26 août – Arnaud Montebourg affirme que « le nucléaire est une filière d’avenir », mais François Hollande ferme la centrale de Fessenheim.

Porte-parole du PS, David Assouline affirme qu’Arnaud Montebourg a donne son « sentiment personnel », et que sa déclaration n’engage pas le gouvernement. Et pour cause, le 14 septembre, François Hollande annonce la fermeture de la centrale de Fessenheim, en Alsace, l’une des plus sûres et des plus rentables du réseau nucléaire français.
--------------------
28. 30 août – Le gouvernement ouvre la porte à des « salles de shoot ».

Marisol Touraine se déclare favorable à des salles d’injection de drogue payées et gérées par l’ État.
--------------------
29. 31 août – Conflit d’intérêts lié au choix de la banque Lazard comme conseil pour la future banque des PME.

Arnaud Montebourg et Pierre Moscovici ont choisi le banquier Matthieu Pigasse pour conseiller la Banque publique d’investissement. Matthieu Pigasse est aussi propriétaire du journal les Inrocks, qui a pour rédactrice en chef la compagne d’Arnaud Montebourg, Audrey Pulvar. François Hollande avait promis le 2 mai : « Moi. président de la République, il y aura un code de déontologie pour les ministres, qui ne pourraient pas rentrer dans un conflit d’ intérêts ».
--------------------
30. 13 septembre – François Hollande commande des sondages à Élysée.

Le Parisien révèle que François Hollande commande des enquêtes d’opinion depuis l’Élysée. Le 15 avril. il avait déclaré : « L’Élysée ne commandera plus de sondages ».
--------------------
31. 17 septembre – Les députés PS exigent le droit de vote pour les étrangers.

Soixante-quinze députés PS rappellent dans le Monde à François Hollande sa promesse N° 50 de campagne d’instaurer le droit de vote des étrangers. L’Élysée réagit : « Ce qui est clair, c’est que l’engagement sera tenu. » Le PS veut remplacer le vote populaire par un vote communautaire pour conserver le pouvoir, au détriment de la conception républicaine qui lie nationalité et droit de vote.
--------------------
32. 18 septembre – La gauche veut abroger la loi sur le service minimum dans les transports.

François Hollande avait déclaré, le 26 janvier 2012 : « Je maintiendrai le service minimum. » Le Parisien rapporte pourtant que le ministre des Transports, sous la pression des syndicats, envisage de revenir sur celle loi qui empêche que l exercice du droit de grève ne prive les Français de la liberté de circuler.
--------------------
33. 27 septembre – Jean-Marc Ayrault ment aux Français quand il affirme que 90% d’entre eux seront épargnés par les hausses d’impôts.

100% des Français seront affectés par cette augmentation sans précédent de 33 milliards d’euros de la fiscalité, dont 9 millions de salariés avec la taxation des heures supplémentaires, 16 millions de foyers avec la hausse de 23% de l’impôt sur le revenu, 7.5 millions de retraités avec une taxe spéciale de 0,30%, 2,5 millions d’indépendants avec une hausse des cotisations de 1.3 milliard d’euros …
--------------------
34. 5 octobre – Les « pigeons » font reculer Pierre Moscovici.

Des entrepreneurs de PME innovantes, réunis au sein du mouvement des « pigeons ». dénoncent le risque que prend la gauche de tuer tout esprit d’entreprise en imposant jusqu’à plus de 60% les plus-values de cession. Le gouvernement doit reculer.
--------------------
35. 9 Octobre – François Hollande fait adopter un traité européen qu’il avait combattu.

Le 17 mars 2012, François Hollande déclarait : « Ce traité est un risque » … Et la proposition n°11 de son programme était : « Je renégocierai le traité européen ». François Hollande a pourtant supplié sa majorité d’adopter ce traité qui était mot pour mot celui que Nicolas Sarkozy avait négocié. 29 députés socialistes, 12 députés verts et 13 députés communistes dénoncent cette trahison de François Hollande, en refusant de voter pour ce traité.
--------------------
36. 12 octobre – Jean-Marc Ayrault veut indemniser les descendants des traites négrières.

Selon Mediapart, Matignon se dit « très ouvert » à des réparations financières, pour indemniser les descendants des victimes de la traite négrière. François Hollande le désavoue : « Il n’est pas question de réparations financières ».
--------------------
37. 14 octobre – Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, juge « absurde » la règle des 3% de déficit défendue par François Hollande.

Pour Claude Bartolone, l’objectif de 3% de déficit public en 2013 « a un côté absurde ». Jean-Marc Ayrault le qualifie, le 16 octobre, d’objectif impératif ». Qui croire ? Le Premier ministre ou le président de l’Assemblée ? François Hollande ne tranche pas.
--------------------
38. 15 octobre – Vincent Peillon demande un débat sur la dépénalisation du cannabis.

Le ministre de l'Éducation nationale, qui défend une « morale laïque », prône la dépénalisation d’une drogue.
--------------------
39. 16 octobre – Jérôme Cahuzac est désavoué sur l’élargissement de la redevance télévisée aux résidences secondaires.

Le 14 octobre, Jérôme Cahuzac explique que « le gouvernement est favorable à un amendement » sur l’élargissement de la redevance télé aux résidences secondaires. Le 16 octobre. Jean-Marc Ayrault affirme que cette idée n’est « pas la position du gouvernement ». Au final, la redevance télé augmente pour tous les français.
--------------------
40. 16 octobre – Le gouvernement et la majorité s’opposent sur la taxation des oeuvres d’art.

Le 10 octobre, les députés PS adoptent un amendement qui inclut les oeuvres d’art dans le calcul de l’ISF. Jean-Marc Ayrault assure le 16 octobre qu’il est opposé à cette disposition défendue par ses propres députés.
--------------------
41. 18 octobre – Manuel Valls brade la nationalité française.

Manuel Valls supprime des critères objectifs de naturalisation, comme la connaissance de notre culture ou le fait d’occuper un emploi en CDI. La gauche remet en cause l’essence de l’intégration républicaine qui permet, au terme d’un parcours exigeant, de devenir français.
--------------------
42. 18 0ctobre – Harlem Désir devient premier secrétaire du PS à l’issue d’une parodie de vote.

François Hollande, Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault s’entendent pour imposer Harlem Désir à la tête du PS. François Hollande avait pourtant déclaré le 2 mai 2012 : « Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité ». Et François Hollande s’entoure encore d’un homme condamné par la justice. Le 17 décembre 1998, Harlem Désir avait été condamné à 18 mois de prison avec sursis pour recel d’abus de bien sociaux.
--------------------
43. 22 octobre – La gauche baisse de 50% le coût d’un visa pour obtenir un titre de séjour.

La gauche ouvre les vannes de l’immigration alors que notre pays n’est plus en mesure d’intégrer des immigrés correctement. François Hollande augmente massivement les impôts pour tous les Français, mais baisse ceux des étrangers : suppression de 30 € de franchise de l’AME et baisse de plus 50% du droit de visa pour entrer en France.
--------------------
44. 23 octobre – Le porte-parole du gouvernement veut récrire les manuels scolaires en fonction de l’orientation sexuelle des personnages historiques.

Najat Vallat-Belkacem estime qu’il faut « passer en revue » les manuels scolaires afin de préciser l’orientation LGBT (lesbienne, gay, bi, trans) de certains personnages historiques. Ce n’est pas le rôle d’un gouvernement que de récrire les manuels scolaires pour réinterpréter l »histoire en fonction de l’orientation sexuelle de certains personnage. Comment ne pas s’ interroger sur l’objectif pédagogique de celte démarche ?.
--------------------
45. 24 octobre – Jean-Marc Ayrault court-circuite le Conseil constitutionnel.

Avant même la délibération du Conseil constitutionnel, Jean-Marc Ayraull annonce la censure de la loi sur le logement social. Cela dénote un sidérant mépris pour l’indépendance du pouvoir judiciaire. Le Constitutionnaliste Didier Maus juge cette affaire « grave, anormale et sans précédent » dans l’histoire de la République ».
--------------------
46. 30 octobre – Dans la même journée, Jean-Marc Ayrault se dit ouvert puis hostile à un débat sur les 35 heures.

Dans Le Parisien, Jean-MarcAyrault déclare : « Pourquoi ne pas revenir aux 39 heures payées 39″. Panique au gouvernement. Michel Sapin désavoue son Premier ministre : « Non, il ne faut pas supprimer les 35 heures. » Laurent Fabius esquive ... Il dit qu’il n’y a pas de tabou, mais enfin il dit qu’il n ‘est pas favorable à cette mesure.» Jean-Marc Ayrault rectifie le tir en urgence : « Ce n’est pas le point de vue du gouvernement. Il n’est pas question de revenir sur les 35 heures ». La cacophonie gouvernementale atteint des sommets.
--------------------
47. 31 octobre – Rejet par le Sénat de gauche de la loi de programmation budgétaire.

La loi de programmation budgétaire est rejetée par le Sénat où la gauche est majoritaire. Par la suite, le projet de loi de finances (PLF) puis le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) seront aussi rejetés par le Sénat.
--------------------
48. 6 novembre – La supercherie du crédit d’impôt pour les entreprises.

Le gouvernement annonce la création d’un crédit d’impôt pour les entreprises. Son montant de 20 milliards efface à peine les augmentations d’impôts votées depuis juin. C’est un monstre bureaucratique difficilement applicable. Le dispositif est financé par une hausse de la TVA de 7 milliards. François Hollande jurait le 14 juillet : « Je ne veux pas recourir à la TVA », et Jean-Marc Ayrault ajoutait le 27 septembre : « Il n’y aura pas de hausse de la TVA durant tout le quinquennat. Cette mesure sera rejetée le 16 décembre par le Sénat majoritairement à gauche.
--------------------
49. 7 novembre – La gauche baisse de 10% le budget de la défense; les verts veulent la fin de la dissuasion nucléaire.

Le 7 novembre. le gouvernement fait adopter un budget triennal pour la défense en baisse de près de 10% par rapport à 2012. La gauche fragilise notre défense nationale et la puissance de la France.
--------------------
50. 13 novembre – Face aux mauvais chiffres de la sécurité, Manuel Valls accuse la droite d’être responsable « du retour du terrorisme ».

Sommé de s’ expliquer sur l'augmentation préoccupante de l’insécurité en France en octobre (+ 8% pour les crimes et délits), Manuel Valls perd ses nerfs et accuse les députés U M P d’être la cause du « retour du terrorisme ». Un dérapage inacceptable condamné du bout des lèvres par François Hollande.
--------------------
51. 19 novembre – La France perd son triple A.

L’agence de notation Moody’s annonce qu’elle retire à la France son triple A. Elle justifie sa décision par le manque de réformes structurelles et l’absence d’une stratégie crédible pour restaurer la compétitivité de notre économie. C’est un désaveu cinglant pour François Hollande.
--------------------
52. 27 novembre – Les chiffres du chômage sont catastrophiques.

L’Insee annonce que le nombre de chômeurs progresse de 1,5%. Nous sommes sur un rythme moyen dramatique de 40 000 demandeurs d’emploi supplémentaires chaque mois depuis juillet. La France compte 3,1 millions de chômeurs.
--------------------
53. 29 novembre – Mascarade de débat sur le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe.

Dans le cadre des auditions sur le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels. organisées par les députés PS à l’Assemblée nationale. les représentants des grandes religions de France n’ont que quatre minutes chacun pour s’exprimer dans un climat hostile. La gauche montre un visage sectaire et intolérant.
--------------------
54. 3 décembre – Cécile Duflot attaque l’Église Catholique.

Cécile Duflot accuse l’Église catholique de ne pas agir pour les plus démunis et menace de réquisitionner ses bâtiments. La ministre se trompe de cible, l’Église, avec le Secours catholique ou Emmaüs, est particulièrement active notamment sur la question de l’accueil des sans-logis.
--------------------
55. 7 décembre – Le fiasco de Florange.

François Hollande laisse Arnaud Montebourg claironner une nationalisation partielle du site. Puis Jean-Marc Ayrault rejette toute nationalisation, avant d’annoncer un accord avec Mittal pour l’avenir de Florange. L’accord devient quasi caduc à peine annoncé par le Premier ministre. Amateurisme gouvernemental, double discours présidentiel, absence de stratégie économique : Florange résume toutes les errances de la gauche au pouvoir.
--------------------
56. 8 décembre – Christiane Taubira veut détruire l’arsenal pénal contre la récidive.

Mme Taubira envoie un signal désastreux de laxisme, en annonçant une loi de suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes, des peines planchers et de la rétention de sûreté.
--------------------
57. 10 décembre – François Hollande soutient une plainte de sa compagne devant la justice.

Au mépris de la séparation des pouvoirs, François Hollande et Manuel Valls écrivent chacun une lettre au tribunal de grande instance de Paris pour soutenir l’assignation déposée par Valérie Trierweiler contre une biographie la concernant. François Hollande avait claironné : « Moi, président de la République, je ferai fonctionner la justice de manière indépendante » (2 mai 2012).
--------------------
58. 29 décembre – Le Conseil Constitutionnel censure la taxe à 75% de François Hollande.

Le Conseil constitutionnel retoque cette taxe au taux confiscatoire. Nous avions toujours dénoncé son inconstitutionnalité. Avec cette promesse démagogique, François Hollande a trompé les Français, en leur faisant croire qu’il suffisait de « taxer les riches » pour résoudre les problèmes de notre pays. En réalité, punir les plus « riches » jusqu’à ce qu’ils quittent notre pays, fait retomber l’effort sur les classes moyennes.
--------------------
59. 9 janvier – L'ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin est nommé à la tête du CSA.

François Hollande nomme Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Cette nomination intervient alors qu’Aurélie Fillippetti, ministre de la Culture et de la Communication, a de son côté menacé le PDG de France Télévisions le 12 décembre. C’est une évidente reprise en main politique de l’audiovisuel public. François Hollande avait assuré qu’il respecterait l’indépendance du service public : « Moi, président de la République, je n’aurai pas la prétention de nommer les directeurs des chaines de télévision publique » (2 mai 2013).
--------------------
60. 13 janvier – Plus de 1 million de personnes défilent dans la rue pour demander un référendum sur le projet de loi sur le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe.

François Hollande oppose une fin de non recevoir : il n’y aura ni débat ni référendum sur ce sujet.

A envoyer sur le mail de Taubira à l'assemblée !





La question du sort de l'enfant lors d'un divorce ou d'une séparation reste délicate à trancher. Jointe par BFMTV.com, Nicole Garret-Gloanec, pédopsychiatre, souligne le rôle fondamental de la mère dans la construction de l'enfant

Propos recueillis par Ariane Kujawski




Pour la pédopsychiatre Nicole Garret-Gloanec, le lien mère-enfant est fondamental. (BFMTV)


Le cas de Serge Chernay, qui est finalement descendu de la grue sur laquelle il était perché à Nantes, a relancé le débat de la place des pères dans la garde de l'enfant. Alors que Christiane taubira, ministre de la Justice, et Dominique Bertinotti, ministre de la Famille, misent beaucoup sur une meilleure médiation au moment de la séparation, que préconisent les médecins ? BFMTV.com a posé la question à Nicole Garret-Gloanec, pédopsychiatre à Nantes.

"Le lien avec la mère est fondamental pour se développer"


Le jeune enfant a-t-il un besoin essentiel de sa mère ?


Oui. Il y a une question d'âge et de contexte. Dans notre société, plus l'enfant est petit, et plus il a besoin de sa mère. Moi, je m'occupe des enfants jusqu'à trois ans. Pour eux, le lien avec la mère est fondamental pour se développer. Ils ont besoin d'un attachement solide à la mère, cela leur procure la sécurité dont ils ont besoin.

Cela ne veut pas dire que ce lien doit être exclusif, mais c’est le premier lien : il faut le protéger et le maintenir, puis l’assouplir et l’ouvrir au monde extérieur. Cela, c'est le père qui peut l'assumer. Mais le bébé a besoin de la préoccupation que sa mère ressent pour lui, pour répondre à ses besoins. C’est quelque chose de fondamental. Si ce lien est exclusif, il va devenir toxique et c’est évidemment une situation à éviter, grâce au père notamment.

Le père peut-il élever seul un enfant ?

Un père peut élever un tout-petit, mais à plusieurs conditions. Il doit faire un maternage adéquat, c’est-à-dire qu’il doit aller chercher dans ses propres représentations féminines à transmettre à son enfant. Des pères peuvent tout à fait bien le faire.

Mais ont-ils forcément envie de passer par là ? Moi, je n’en vois pas beaucoup. Et quoi qu’il arrive, l’enfant souffrira de ne pas avoir de mère. Et si l’enfant souffrira aussi de ne pas avoir son père – car il ne s’agit pas de dire que le père n’est pas important - la souffrance ne sera pas la même.
"L'enfant se nourrit des différences qui existent entre ses parents"

Pourquoi ?

Parce que celui qui joue la fonction maternelle a une fonction d’existence. L’autre parent aussi, mais c’est une relation qui est plutôt en lien avec la construction.

Sans dire que le trio constitué par les parents et l'enfant doit être le seul modèle, c’est à mon sens le plus simple. L’enfant se nourrit des différences qui existent entre ses parents. Il a besoin de dire "papa" et "maman". S’il ne le peut pas, il en souffrira : il lui manquera une partie de lui-même. Et puis, on ne prend pas le rôle maternel de la même façon lorsqu’on est un homme que lorsqu’on est une femme.

Après, il faut tenir compte de la réalité : les séparations existent, et on peut évidemment aider l’enfant à dépasser ses souffrances. Mais il faut revenir aux besoins de l’enfant. Trop souvent, on a tendance à faire ce que l’on veut en tant que parents, alors que le plus important est de regarder l’enfant et voir quels sont ses besoins.

Que pensez-vous de la garde alternée ?

Personnellement, je n'y suis pas favorable, que ce soit pour les tout-petits ou même les plus grands, car cela oblige les enfants à s'adapter à chaque parent et à son environnement. Il lui faut passer d'un lieu à un autre, sans avoir de lieu à lui. Ils sont à une période de leur vie où ils ne doivent pas s'adapter aux parents, mais où leurs parents doivent s'adapter à eux.

Après, bien sûr, les enfants sont capables de s'adapter à beaucoup de choses. Mais cela a des conséquences : on ne peut pas demander ensuite aux enfants d'être bien dans leur peau et de ne pas être stressés. Quand on y pense, on leur fait vivre des choses très difficiles...

lundi 18 février 2013

36-15 j'existe !



Trouvé sur le net, le billet d'un gauchiste (nul n'est parfait) "éclairé" (aurait-il posé des micros chez les Fillonistes ?) sur l'étoile montante de la droite, qui trouve son inspiration dans les révélations de la vierge noire du Puy-en-Velay ou le chant du muezzin, selon son humeur.

En filigrane, juste évocation de la figure austère et croupioniste mais qui se voudrait tutélaire de notre parti.
Jean-François, méfie-toi !

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/768263-ump-laurent-wauquiez-le-nouveau-poil-a-gratter-de-jean-francois-cope.html

UMP : Laurent Wauquiez, le nouveau poil-à-gratter de Jean-François Copé

Jean Martais


L'UMP est en chantier. Après la très chaotique élection du maire de Meaux à la présidence du parti, François Fillon n'est plus que l'ombre de lui-même... Le champ est donc libre pour la jeune garde, qui attend septembre 2013, en embuscade dans le dos des plus vieux. Le plus visible d'entre eux s'appelle Laurent Wauquiez, et il nous rappelle bien des gens.

 



Laurent Wauquiez à l'Assemblée nationale le 19 juin 2012 (K.TRIBOUILLARD/SIPA).



S'il y a bien un enseignement que François Fillon a su tirer de sa déconvenue électorale à la présidence de l'UMP, c'est qu'il n'était certainement pas dimensionné et formaté pour le poste. Pas parce que ses compétences, sa stature ou son parcours politique peuvent être remis en cause. Mais parce que sa personnalité intrinsèque ne cadrait pas avec le job.


Fillon, loup solitaire et ombrageux, estampillé homme d'état mais qui traîne aussi une réputation de personnage velléitaire et pusillanime, était-il capable de se muer en chef de meute carnassier, et de déclarer une guerre soutenue au pouvoir socialiste ? Était-il capable de quitter son nuage pour descendre dans l'arène ? La vérité est que, probablement, il ne le désirait pas vraiment et qu'il s'agissait simplement pour lui d'empêcher Jean-François Copé de prendre son envol dans l'optique de 2017.

Fillon n'est plus en position de se représenter à la présidence de l'UMP

 

Copé l'avait bien compris et c'est exactement ces traits de caractères qu'il a pointés lorsqu'au cours de la campagne, il qualifia son adversaire de "candidat des barons" ou de "Hollande de droite".


Force est de constater qu'il a réussi son coup puisqu'il est aujourd'hui président en titre de l'UMP, même s'il est affublé, suite à l'accord de sortie de crise de décembre dernier, d'une direction collégiale "fillono-compatible" censée le marquer à la culotte jusqu'aux prochaines élections de septembre 2013.





François Fillon et Jean-François Copé aux journées de l'UMP le 27 septembre 2012 (A.Robert/SIPA).


Ainsi, les membres du ticket Fillon ont obtenu de siéger à la droite du nouveau dieu de l'UMP (comme quoi il est possible d'être à droite de Copé) : Valérie Pécresse en tant que secrétaire générale déléguée (Michèle Tabarot conservant le poste de secrétaire générale) et Laurent Wauquiez en tant que vice-président plein et entier (Luc Chatel étant pour sa part vice-président délégué). Le fromage a donc été partagé.


François Fillon quant-à lui, après avoir déclaré pendant le vaudeville qu'il renonçait à la présidence de l'UMP, ne sera donc probablement pas en position de se représenter, sous peine de souligner une fois encore son manque de constance. Et de prêter le flanc à une critique facile. D'ailleurs, il a d'ores et déjà fait savoir qu'il aspirait à "prendre de la hauteur" et a être "à mi-chemin entre un Sarkozy qui n'est nulle part et un Copé qui est partout". On aura donc droit au cours des prochains mois à un Fillon lévitant tel un spectre au-dessus de la mêlée.


Pour autant, Fillon ne laissera pas le champ libre à son rival déclaré. De fait, de janvier à septembre, c'est une nouvelle gestation de neuf mois qui se profile à l'UMP et il serait surprenant, à l'aune des blessures infligées au cours de la première, qu'elle se déroule dans un climat plus apaisé. Il suffisait pour s'en convaincre d'observer la photo des retrouvailles lors de la journée de réunification du 15 janvier et dans ce contexte, Valérie Pécresse est un bon thermomètre...


Néanmoins, l'adhérent de base est prié de croire que la crise est maintenant à ranger au rayon des pertes et profits, et que cette nouvelle UMP rassemblée comme jamais l'est dans une unité digne d'une armée marchant au pas de l'oie. En l'occurrence, l'unité est de façade, l'armée est mexicaine et l'oie, gavée d'antibiotiques visant à la guérir.

Wauquiez dans la caricature constante de l'opposant stérile

Fillon ne sera donc plus en première ligne mais il a néanmoins inventé une arme bactériologique censée éradiquer la main-mise de Copé sur l'appareil : cette arme est Laurent Wauquiez.

Ce jeune Wauquiez que l'on voit partout. Et surtout, que l'on entend partout. Histoire de contrer l'omniprésence pathologique de Copé dans les médias. Il est l'archétype de l'opposition actuelle : celle qui cherche à s'opposer sans proposer, à se montrer sans démontrer, à aboyer pour dévoyer.


En un laps de temps très réduit, Laurent Wauquiez a d'abord épinglé le "présumé coupable" Jérôme Cahuzac, sommé d'apporter la preuve qu'il n'a jamais possédé de compte bancaire non déclaré en Suisse. Dans le monde de Laurent Wauquiez, chaque personne est donc originellement coupable sauf si elle parvient à démontrer le contraire.




Jérôme Cahuzac à l'Assemblée nationale lors des questions au gouvernement, le 11 décembre 2012 (CHAMUSSY/SIPA).

Puis, suite au rappel de Vincent Peillon à l'enseignement catholique sous contrat, leur demandant de ne pas importer le débat sur le mariage pour tous dans les écoles, il a taxé le ministre de l'Éducation de "cathophobie", en profitant au passage pour dispenser une vision de la laïcité très proche de celle de la Droite forte (toutes les religions sont égales mais la religion catholique un peu plus). Dans le monde de Laurent Wauquiez, "l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur"...

Dans la foulée, alors qu'un quasi-unanimisme saluait la décision de François Hollande d'intervenir au Mali, soulignant notamment l'urgence qu'il y avait à le faire – y compris à droite –, notre jeune sniper se dit qu'il serait de bon ton de placer les éléments de langage "improvisation" et "impréparation", histoire d'instiller l'idée que le président socialiste est décidément un amateur.


Le tout, une semaine après avoir affirmé au contraire que "quand on a nos soldats exposés sur le terrain, (...) il est évident que le devoir républicain, c'est le consensus, l'union sacrée, au moment où des enfants de la France essaient de défendre les valeurs de la République sur des opérations extérieures".


Dans le monde de Laurent Wauquiez, ce qui est sacré, ce n'est donc pas l'union mais plutôt la lumière. La sienne en l'occurrence, dès lors qu'elle est médiatique. En revanche, il ne s’embarrasse guère de convenances et de cohérence, vertus à l'évidence inutiles.


Enfin, dans l'émission "Des paroles et des actes" consacrée à Arnaud Montebourg ce jeudi, on eut le droit à un Laurent Wauquiez de gala venu avec sa formule magique "marchand d'illusions" qu'il répéta plusieurs fois afin, probablement, de faire honneur au communicant à qui on devait cette trouvaille. Au final, il donna l'image d'un roquet venu mordre les mollets du ministre du Redressement productif, exactement la même que donna sa collègue Nathalie Kosciusko-Morizet au cours d'une émission précédente en face de Jean-Marc Ayrault.


Finalement, il semblerait que Laurent Wauquiez ne soit qu'une incarnation, parmi d'autres, de la maxime de Coluche : "de tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent". C'est en cela qu'il est caricatural. Dommage, il se fourvoie. Et le créneau est déjà surchargé. En la matière, l'UMP fait dans le surbooking.


Wauquiez, nouveau contre-poison du Copéisme ?

Mais il est assez savoureux de constater que pendant que le maire de Meaux cherche par tous les moyens à lisser son image de hussard (et ça commence déjà par sa façon bien moins agressive de s'exprimer dans les interviews), celui du Puy-en-Velay se balade l'arme en bandoulière et désosse tout ce qui ressemble de près ou de loin à un socialiste. Histoire de se faire un nom et une réputation.


Ce faisant, il emprunte à Copé sa technique de combat et c'est peut-être bien là le véritable intérêt de la manœuvre : employant une rhétorique primaire de type tête de gondole (des phrases chocs compréhensibles par tout le monde) et usant d'un cynisme insoupçonné, le défenseur auto-investi des classes moyennes est en train de pilonner le pourfendeur auto-proclamé de la "gauche bien-pensante" sur son propre terrain.


En somme, Copé fait du Fillon pendant que Wauquiez fait du Copé...

Ceci étant, il paraît évident aujourd'hui que Laurent Wauquiez ambitionne de se présenter à la présidence de l'UMP en septembre, d'autant plus que, conforté par les résultats de sa motion la Droite sociale (arrivée en 2e position avec 21.7 % des suffrages derrière la Droite forte), il peut se prévaloir d'une certaine légitimité à l'UMP.


On salive déjà à l'idée d'un débat Copé-Wauquiez. Premièrement parce que ces deux-là s'aiment autant que l'eau et le feu. Ensuite parce que l'Académie Française frisera ce jour-là l'apoplexie, prise en otage par les éléments de langage propres à chacun : ce sera la fête des "Pour ce qui me concerne (Copé)", "Je voudrais vous dire ma part de vérité (Copé)", "Je vais prendre un exemple très simple (Wauquiez)", "Matraquage fiscal des classes moyennes (Wauquiez)" etc.


Dans l'esprit de François Fillon, Laurent Wauquiez est donc probablement l'antidote ultime contre le copéisme. Le vaccin qui permettra au Sarthois de se tenir à distance pendant que le docteur Wauquiez se chargera du traitement à administrer à "l'inquiétant Monsieur Copé".


Dernière question : si Copé a été le Frankenstein de Sarkozy, Wauquiez sera-t-il celui de Fillon ?

Traçabilité ? Laissez-nous hennir !


























Sourire triste...

La vérité se rapproche tellement de la caricature s'agissant de la malbouffe que l'on en vient à redouter que les mêmes logiques se mettent en place lorsque nous aurons "libéralisé" et "mondialisé" le droit à l'enfant. A ce titre, le second chapitre de ce post relève pour l'instant de la science fiction mais fait froid dans le dos tant il parait plausible.

J'vais en parler à mon cheval pour voir ce qu'il en pense...





On a trouvé du cheval dans des lasagnes « au bœuf » surgelées.

De la viande découpée en Roumanie vendue par un trader hollandais à un trader chypriote qui l’a revendue au groupe français Poujol, holding de la société Spanghero, fournisseur de Comigel, une entreprise de Metz qui fabrique des lasagnes au Luxembourg pour les vendre à Findus, entreprise suédoise appartenant au fonds anglais Lion Capital.

On ignore d’où viennent les tomates des lasagnes Findus, comment elles ont poussé, par qui elles ont été achetées, à qui elles ont été revendues avant d’être transformées en sauce et vendues à Comigel afin d’être incorporées aux lasagnes Findus. Idem pour les pâtes, le lait de la béchamel et le fromage.

***



Et encore, on ne nous dit pas tout.

On aurait retrouvé parmi les embryons congelés de la filiale de Findus spécialisée dans la reproduction humaine artificielle (RHA), des spécimens fécondés par du sperme d’étalon. Lequel aurait été vendu par un haras ukrainien à un trader italien qui l’aurait revendu au groupe européen Frydman, Testart & Co, fournisseur de Ovulux, une entreprise de Lille qui commercialise des projets parentaux en série.
Les lots de projets parentaux datés du 15 janvier 2013 au 11 février 2013 ont été rappelés pour contrôle. Les experts remontent la filière pour savoir si le sperme suspect vient de Roumanie, du Luxembourg ou de Suède.
Une réunion de crise est prévue dans les prochains jours au ministère de la santé avec les acteurs de la filière.