lundi 8 octobre 2012

Olivier et Valérie ou l'amour royal (oups ! on voulait dire loyal...)


« Le tweet a été mal interprété » 

 

Retour sur l'épisode de l'été, façon Voici (qui ne manque pas d'humour !)



Nous n’avions rien compris. Dans le tweet de Valérie Trierweiler, nous avons vu de la jalousie là où il n’y avait qu’amour et tendresse. Nous nous sommes trompés. Lamentablement vautrés. Nous ne sommes que honte et contrition. 
Souvenez-vous le 12 juin 2012, Valérie Trierweiler envoyait CE tweet : 


 
Bêtement, comme environ 98% de la population française, nous sommes tombés dans le panneau : nous avons imaginé que ce message de soutien à l’adversaire de Ségolène Royal était l’expression de la haine d’une femme maladivement jalouse de l’ex de son homme. Grossière erreur. C’était un message d’amour, un love tweet, un bisounours digital. 

C’est le destinataire de ce message, Olivier Falorni lui-même, qui nous l’explique aujourd’hui dans les colonnes de Nice Matin : « Son tweet a mal été interprété […] Ces 137 signes ne manifestent en rien la jalousie d'une prétendue harpie, mais, par destination, l'amour et l'admiration qu'elle porte à François Hollande. »
 
Son explication étant un chouïa longue et alambiquée, on vous la résume : 
Valérie soutient Olivier
Or Olivier a toujours soutenu François
Donc quand Valérie soutient Olivier qui a toujours soutenu François, Valérie exprime son amour pour François
CQFD ! 

Et là, oui, évidemment, tout se tient. Ce n’est pas Ségolène Royal qui était visée, mais le cœur de François Hollande. Au lieu d’aller le voir dans son bureau et de lui faire un gros câlin, Valérie a préféré montrer à son compagnon combien elle l’aimait en affichant publiquement son soutien à un candidat désavoué par ce dernier. C’est très malin. Un peu tordu, mais très malin. 

Ah oui mais flûte, problème, le 3 octobre, Valérie Trierweiler a déclaré : « Ce tweet était une erreur que je regrette ». 
Mais elle regrette quoi du coup ? Son amour pour François Hollande ? On est perdu. 

Si Olivier Falorni ou un rédacteur de Nous Deux pouvait nous éclairer !

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