lundi 27 août 2012

Elle est fraiche ma mosquée, elle est fraiche !

 
Avec l'interview du maraicher qui conteste la vente de cette parcelle communale qu'il souhaite continuer de cultiver, comme il le fait depuis 30 ans, tout en précisant que ses sympathies pour le FN pourraient expliquer cette décision défavorable de la mairie :
 


Et l'article de France 3 Alpes

http://alpes.france3.fr/info/annemasse-74--pas-de-mosquee-dans-mes-salades-75113020.html

Pour mémoire :Année après année, la croissance exponentielle du nombre de mosquées en France s’aggrave. Cette croissance a lieu grâce à la complicité des élus de tous bords qui malgré la loi de 1905 favorisent et financent la construction de mosquées.

1965 : 5 mosquées
1985 : 913 mosquées
1999 : 1536 mosquées
2010 : 2359 mosquées

Ce chiffre est supérieur !! à celui des États-Unis où le nombre de mosquées a pourtant augmenté de 74 % entre 2000 et 2010 (1209 mosquées en 2000 contre 2106 en 2010)
 

Annemasse : un terrain pour la mosquée

                                               Le terrain où devrait se construire la mosquée est actuellement cultivé par un maraîcher qui ne veut pas partir. 
Le terrain où devrait se construire la mosquée est actuellement cultivé par un maraîcher qui ne veut pas partir.
A la quasi unanimité, le conseil municipal a approuvé mardi 10 juillet la vente d'une parcelle au Brouaz au profit de l'association des musulmans d'Annemasse.


Des élus de la majorité (Robert Borrel) comme de l'opposition (Jean-Pierre Benoist, Louis Mermet) ont qualifié le moment "d'historique". Lors de sa séance, le conseil municipal affichait un profond oecuménisme républicain et un peu de solennité. Tout le conseil (à l'exception d'Anne Michel qui a voté contre) a approuvé la vente d'un terrain de 7 040 m2 pour 704 000 euros à l'association Centre culturel des musulmans d'Annemasse (CCMA). Situé à côté du rond-point reliant les avenues Mendès-France et Lachenal dans le quartier du Brouaz, le terrain est actuellement cultivé par le maraîcher Pierre Grandchamp. Ce dernier qui est locataire de la parcelle a engagé une procédure auprès du Tribunal des Baux ruraux pour contester son éviction de ce terrain.
Le Messager

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire