mercredi 29 août 2012

Lettre ouverte à nos élus 


Vous allez trouver ci-dessous le texte que nous adressons en préambule à la "Lettre ouverte à nos élus" et du "Manifeste-dossier" d'accompagnement et, naturellement les liens pour accéder à ces deux documents.
Nous vous demandons de créer avec nous la chaîne d'amis d'amis d'amis... qui permettra à l'information de se répandre comme une tâche d'huile , en nous relayant par e-mails, via facebook et autres réseaux sociaux , par le bouche à oreille.

Nous sommes convaincus qu'après avoir lu la lettre et consulté le dossier vous en comprendrez l'urgente nécessité.
N'hésitez pas à relancer nos élus pour qu'ils s'engagent dans l'action. S'ils nous sentent à leurs côtés, ils trouveront l'énergie nécessaire !

En unissant nos volontés et nos forces, nous devons réussir !

Colombey-les-Deux-Églises

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Préambule de la Lettre ouverte à nos élus 


Nous voulions informer sans déformer, alerter sans exagérer.
Plusieurs centaines d'heures de recherche et de synthèse, parfois de confrontation avec l'horreur et la barbarie, ont abouti à l'absolue nécessité de  ne pas nous taire et de sonner le tocsin à toutes volées.f

Ne souriez pas et faites l'effort de lire avec attention la "Lettre ouverte à nos élus" et le "Manifeste-dossier" qui lui est associé, même si cela demande un peu de temps.

Ouvrez les liens, lisez, regardez, écoutez...ressentez...réfléchissez..

Nous vous laissons découvrir ce que la quasi totalité des médias français cachent ou aseptisent jusqu'à le rendre anecdotique : la France, l'Europe et tout l'occident judéo-chrétien souffrent d'un cancer dont les métastases sont insidieuses mais galopantes et à terme mortelles.

La déclaration de Bruxelles du 9 juillet 2012 (Conférence internationale pour la liberté d'expression et les droits de l'homme au Parlement Européen) montre qu'arrive enfin la prise de conscience du monde occidental . Elle proclame en outre son rejet de la "Déclaration du Caire des droits de l'homme en Islam". La porte est donc largement ouverte pour que s'engage une vigoureuse réaction dans l'ensemble des pays de culture occidentale et tout particulièrement en France qui est le pays le  plus profondément atteint .

Si vous avez tout de même encore envie de sourire, ne perdez pas de temps et pensez à réserver pour La Mecque! 

Lien de "Nous sommes en France" :


Lien de la "Lettre ouverte à nos élus" :



lundi 27 août 2012

"Qui plus haut monte de plus haut chiet (tombe)"





Dernières photos de la galaxie médiatique : Un trou noir financier !


Lorsque la presse est soumise au pouvoir de l'argent des banques et des grands groupes et que les dirigeants de ce mêmes instances s'acoquinent avec le pouvoir, on obtient des Me(r)dias au garde-à-vous qui participent quotidiennement au décervelage et à la manipulation des citoyens !

http://devam.hypotheses.org/files/2012/03/1273320229.pdf

INACCEPTABLE !

Par les blogs et nos chaines de diffusion FB, Twitter et autres, continuons la résistance et mettons en lumière les infos qu' "Ils" s'ingénient à nous cacher ou à travestir !!

LappeldusixmaiAfficher la suite
 
 

Valls tragique à Amiens !


                     


Il etait prévenu...


Dans une lettre adressée au ministre de l'Intérieur Manuel Valls le 25 mai, et rendue publique par le site de Libération, le maire PS d'Amiens Gilles Demailly alertait ce dernier sur «la recrudescence des faits de délinquance», plus particulièrement «dans les quartiers dits prioritaires».

«La sécurité et le droit ne sont toujours pas appliqués dans certaines zones», alertait le maire d'Amiens dans sa lettre, et invitait Manuel Valls à se rendre sur le terrain. Regrettant un manque de proximité et de dialogue, le maire se plaignait également de la suppression de 20 fonctionnaires de police dans sa ville par rapport à 2008.

Valls n'a manifestement pas réagi, trop occupé qu'il était à chasser les sorcières de son ministère...

http://www.scribd.com/doc/102928755/La-lettre-du-maire-d-Amiens-a-Manuel-Valls

"Je penche, oui ! mais à gauche...hips"



Martine prise sur le vif par un de ses administrés.
"Non non, je suis sobre comme un chameau, je vous jure !"

Et on ne dit plus "racailles" ni "karcher" mais "chances pour la France" et "police de proximité" !



Changeons de vocabulaire.... "Le changement, c'est maintenant"... Apprêtez-vous donc à modifier votre langage, et n'oubliez pas que "Les mots façonnent les esprits, puis modifient la manière de penser"...
On ne disait déjà plus "un aveugle " mais un mal voyant, un "sourd" mais un malentendant, " un "handicapé", mais une personne a mobilité réduire, une caissière, mais une hôtesse de caisse, un ba...
layeur...un technicien de surface et un cantonnier...un agent du service technique...
Mais maintenant ....
Ne dites plus ... "clandestin" mais "candidat à l'immigration" (Figaro)
Ne dites plus ... "Gitans, rôdeurs, Monte en l'air", mais "gens du voyage" (Tous les médias)
Ne dites plus ... "clandestin, immigré illégal, ni même sans-papiers", mais "privés de papiers" (La Dépêche)
Ne dites plus ... "quartier à majorité immigrée" mais "quartier populaire" (Tous les médias)
Ne dites plus ... "crimes, agressions, violences" mais "actes de délinquance", "incivilités", "bêtises" (Le Parisien) ou "faux-pas" (France 2), et plus récemment "les inconduites" (CNRS)
Ne dites plus ... "émeutes" ou "guerre des gangs" mais "incidents" (Partout)
Ne dites plus ... "immigration" mais "mobilité européenne" (Frattini, commissaire européen)
Ne dites plus ... "bandes" mais "identités de quartier" (LCI.fr)
Ne dites plus ... "Des bandes de noirs et d'arabes" mais "Des jeunes qui se regroupent souvent sur des considérations ethniques"
Ne dites plus ... "enfants d'immigrés" mais "enfants issus de familles d'éducations éloignées"
Ne dites plus ... "attraper les voleurs" mais "lutter contre les délits d'appropriation" (Midi Libre)
Ne dites plus ... "des vauriens font des graffitis" mais des "graffeurs habillent la ville de couleurs"
Ne dites plus ... "un voyou notoire" mais "un individu défavorablement connu de la justice"
Ne dites plus ... "mosquée" mais "centre culturel et religieux"
Ne dites plus ... "fusillade" mais "bagarre par balles" (TF1)
Ne dites plus ... "invasion" mais "excès d'immigration" (Claude Guéant, notre ministre de l'intérieur)
MAIS SURTOUT…Ne dites plus .........
"un Français attaché à son Pays, à sa Culture, à ses Traditions et Fier de son Drapeau" ......mais dites " un RACISTE "

Le changement c'est dans 57 mois ! seulement...

 
 

Merci à R. Rigal pour son commentaire désopilant :
"
Moi, président de la république…. Moi, président de la république, à défaut de faire ce qu’il faudrait faire, je m’applique depuis 100 jours à défaire, plus facile que d’inventer le nécessaire.
Moi, président de la république je n’existe qu’en contre-champ, en contre-pied, en contre-façon même, de mon prédécesseur…
Moi, président de la république, je taxe en 2012, j’économiserai (peut-être) en 2013. Moi président de la république, je rendrai hommage à nos soldats, on me verra, je voyagerai en train, on me verra, je recevrai nos médaillés mais sans doute pas à l’Elysée, pas comme l’autre. Enfin, on verra.
Moi président de la république, je bloquerai le prix des carburants, oui, mais au plus haut…enfin, j’y pense.
Moi président de la république, je refuserai la règle d’or….jusqu’à ce que je l’appelle autrement. Et j’imposerai la croissance à l’Europe entière ! Tiens, si on décrétait la croissance ?
Moi président de la république, je diminuerai le chômage….en élargissant ministères et cabinets.
Moi, président de la république, je me suis entouré de tant de ministres compétents en rien mais j’en suis si content.
Moi président de la république, … …mais j’ai déjà oublié quelques uns des termes de ce que j’avais eu tant de mal à apprendre par cœur….. Ah, si je me souviens, je suis le président de la république et j’ai besoin de me le redire encore quand je promène mon sourire satisfait devant micros et caméras. On m’a vu, on me verra, on m’aura vu…. vous allez voir ce que vous allez voir!
MOI, président de la république…. On verra bien à la rentrée !"
 
 

 
Trois mois de socialisme
 
Le 15 mai dernier, François Hollande entrait à l’Élysée. Que retenir de ces trois premiers mois d’un quinquennat qui prétendait tout changer maintenant ? Ceux qui n’avaient pas de mots assez sévères pour critiquer l’action de Nicolas Sarkozy sont étonnamment complaisants face à un bilan somme toute “globalement négatif”.
Le gouvernement n’a entrepris aucune réforme de structure ? C’est qu’il lui faut du temps et que contrairement à son prédécesseur, il ne veut pas passer en force. La conférence sociale, dont il n’est strictement rien sorti, est, disent-ils, un modèle de concertation. D’ailleurs, voyez : le président et son premier ministre sont populaires. L’opinion, constate un sondeur, aime ce climat apaisé créé par un président normal qui prend le TGV pour aller en vacances.

S’il veut faire des réformes, pourquoi François Hollande commence-t-il par défaire celles qui étaient engagées, rétablissant, par exemple, la retraite à taux plein à 60 ans pour les carrières longues ? Parce qu’il l’avait promis, nous expliquent ses thuriféraires.

Quoi de plus émouvant qu’un président qui tient ses promesses, mêmes si elles sont à contre-courant des équilibres financiers et des évolutions démographiques ! En donnant satisfaction aux syndicats sur ce point, la gauche se met en position de force pour aller plus loin dans les réformes, soutiennent ses partisans.

Peut-être. Mais qu’en est-il du pouvoir d’achat ? Il y a certes eu le coup de pouce au Smic, qui est aussi un coup de pouce au chômage. En revanche, revenir sur l’exonération d’impôt des heures supplémentaires favorise-t-il le pouvoir d’achat de ceux qui en ont le plus besoin ? Il s’agissait, répond-on, d’une mesure visant à contourner les 35 heures, une avancée sociale décisive de la gauche. Y mettre fin est donc une mesure d’équité.
Soit. Mais qu’en est-il de l’emploi ? Le chômage continue à se dégrader, les plans sociaux se multiplient et même la région Île-de-France, pourtant dirigée par la gauche, délocalise au Maroc le centre d’appels de l’organisme qui gère ses transports en commun. Pendant ce temps, François Hollande et son ministre du Redressement productif invectivent les actionnaires de Peugeot et les dirigeants de Sanofi. Le coeur du problème, la compétitivité de la main-d’oeuvre française, est nié. Mais, nous dit-on, la fermeté du président et la fougue de son jeune ministre plaisent aux Français. Enfin un gouvernement qui ne renonce pas en disant « l’État ne peut pas tout » !

En revanche, les détenteurs de capitaux, ceux qui seuls peuvent créer des emplois marchands, sont assommés par les impôts supplémentaires, notamment une contribution “exceptionnelle” sur la fortune qui rend l’ISF plus lourd encore qu’il n’était avant la réforme Sarkozy (abrogée, naturellement). Justice, répondent les admirateurs du gouvernement, et preuve que la gauche sait gérer les finances publiques ! Voyez la faiblesse des taux auxquels nous empruntons !

Il est vrai que la France semble encore épargnée par la crise de la dette. Entourée de pays en faillite qui lui servent de paratonnerre, elle a dû plier face aux exigences allemandes et François Hollande s’est résolu à faire ratifier le pacte budgétaire qu’il condamnait. Suprême habileté, disent ses partisans, car il a su “imposer” la croissance. Laquelle ne cesse d’être révisée en baisse.
David Victoroff

Quand Obama reécrit l'histoire des Etats-Unis pour s'attirer les sympathies islamiques

 
Inattendu !
Apparemment bien documenté, comme souvent avec Guy Millière, et donc un peu dérangeant pour ne pas dire inquiétant.

http://www.dreuz.info/2012/08/les-sympathies-islamiques-dobama/
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
 

Les sympathies islamiques d’Obama

 
 
Ceux qui douteraient des sympathies islamiques de Barack Obama devraient prêter attention au repas de rupture du jeune de ramadan qu’il a organisé à la Maison Blanche vendredi soir dernier.

Etaient invités tous les ambassadeurs des pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique à Washington, sans exception, les deux membres musulmans du Congrès, Andre Carson (je ne connais pas son prénom musulman, pris depuis sa conversion) et Keith Ellison, tous les membres musulmans de l’administration Obama (et il y en a un nombre certain, à commencer par Dalia Mogahed, « responsable du dialogue religieux auprès d’Obama, adepte fervente de la charia, artisane du rapprochement entre le Département d’Etat américain et les Frères Musulmans, et Huma Abeidin, première assistante d’Hillary Clinton au même département d’Etat, ancienne de l’Institute of Muslim Minority Affairs, organisation elle-même liée aux Frères Musulmans et codirigée par elle et Abdullah Omar Nasseef, ancien président de la Muslim World League, fondateur du Rabita Trust, dissous après qu’il ait été découvert par la justice américaine qu’il finançait le terrorisme djihadiste).

Lors de ce dîner, Barack Obama a réitéré ses propos sur les immenses apports de l’islam aux Etats-Unis depuis leur fondation et a tenu à souligner que Thomas Jefferson lisait le « Saint Coran », et avait organisé le premier dîner de rupture du jeune à la Maison Blanche, voici plus de deux cent ans. Obama reconstruit l’histoire, et il ment sur Thomas Jefferson, qui avait convoqué l’ambassadeur de Tripoli, Rahman Adja, à la délégation américaine des Etats-Unis tout juste nés à Londres, aux fins de lui demander des explications sur les actes de pirateries venus des côtes algériennes, et qui aboutissaient à la mise à sac de navires commerciaux américains, lui avait offert à dîner (sans que ce soit un repas de rupture de jeune) et s’était vu remettre par lui un Coran qui, selon l’ambassadeur, lui permettrait de comprendre pourquoi des musulmans pensent légitime de pratiquer la rapine contre des bateaux non musulmans. Obama n’a pas dit que Thomas Jefferson était un admirateur de l’islam ou s’était converti, mais il n’en était pas très loin.

Je sais qu’Obama a été musulman pratiquant jusqu’à l’âge de vingt ans, ce qui ne l’empêchait pas de toucher à de multiples drogues), mais tout de même : il n’y a rien d’étonnant à ce qu’Obama voie en Recep Tayyip Erdogan son princpal partenaire et homme de confiance au Proche-Orient et pose un regard sympathique sur Mohamed Morsi, bientôt en visite officielle à la Maison Blanche où il expliquera à Obama que la purge qu’il est en train d’organiser dans l’armée égyptienne en usant du prétexte de l’attaque terroriste menée voici peu contre Israël dans le Sinai permet de faire avancer la « démocratie » islamique en Egypte.

Ceux qui comprendront les sympathies islamistes d’Obama comprendront son action, et je l’ai déjà expliquée ici (j’y reviens en détail dans mon prochain livre, Le désastre Obama) : jamais depuis leur fondation, les Frères musulmans n’avaient accédé au pouvoir politique, et ils ont maintenant le pouvoir au Maroc, même si le roi est toujours là, en Tunisie, en Libye (moyennant quelques subterfuges qui trompent les idiots inutiles), en Egypte (où Morsi avance effectivement ses pions), au Yemen, en Turquie (où l’AKP a des positions très proches de celles des Frères musulmans et joue le rôle de parti « ami »).

Après avoir longuement hésité, Barack Obama semble pencher du côté des Frères musulmans en Syrie aussi, sans s’impliquer dans une guerre civile qu’il a laissé monter en puissance : ce qui ne signifie pas une fin du conflit rapide pour autant (je l’ai déjà écrit). Outre les Frères musulmans, jamais des factions plus radicales encore, al Qaida en particulier, n’ont connu une telle influence (j’explique dans mon prochain livre pourquoi éliminer Ben Laden n’était pas une opération anti al Qaida), puisqu’elles sont au cœur du soulèvement sunnite syrien, disposent de bases arrière au Yemen, en Somalie, au Pakistan, en Afghanistan (le gouvernement afghan « ami » des Etats Unis est d’ailleurs en train de pencher vers des positions pas très amicales envers l’Occident), en Libye, et dans la jeune république islamique de l’Azawad au Nord du Mali, utilisant pour tout cela les armes venues des arsenaux de Kadhafi grâce à la géniale intervention libératrice dont BHL fut le prophète.

Ceux qui comprendront les sympathies islamistes d’Obama comprendront qu’il a choisi une forme d’équilibre entre d’une part Al Qaida et les Frères musulmans, et d’autre part l’Iran, quitte à fâcher les dirigeants saoudiens. Comme nous l’expliquons, Daniel Pipes et moi dans Face à l’islam radical, l’Arabie Saoudite est fondamentaliste et propage un islam fondamentaliste, mais elle n’est pas un pays djihadiste et se défie des Frères musulmans, et plus encore d’Al Qaida.

Ceux qui comprendront pourront comprendre qu’Obama entend à la rigueur endiguer l’Iran, mais eu aucun cas le frapper ou faire tomber le régime que dirige l’ayatollah Khamenei. Obama, depuis près de quatre ans, a évité toute mesure de sanction efficace contre le régime iranien. Il faudrait qu’il soit dans une position absolument désespérée électoralement pour envisager de frapper l’Iran, et même en ce cas, je doute qu’il le ferait. Il entend, je l’ai déjà écrit, laisser l’Iran aller aux portes du nucléaire, pour passer à l’étape suivante (demande de dénucléarisation régionale).
Ceux qui comprendront pourront comprendre que lorsqu’Obama embrasse des dirigeants israéliens, il s’agit d’un « baiser de la mort » digne de la mafia, destiné à tromper les riches juifs américains à même de le financer et à satisfaire les imbéciles de gauche (pléonasme) façon Alan Dershowitz (qui appelle à voter pour Obama en novembre) : Israël, si Obama est réélu, aura intérêt à compter sur un Congrès moins hostile qu’Obama et sur de nouveaux alliés, tels l’Inde.
Cela renvoie à la question posée au gouvernement israélien face à la nucléarisation de l’Iran.

Je ne sais si le gouvernement israélien entend frapper ou non, et si je le savais je ne le dirais pas. J’écrirai juste que c’est un choix très difficile à faire : il reste peu de temps avant qu’il ne soit trop tard et qu’Israël doive vivre avec le nucléaire iranien, mais on peut raisonnablement se demander si Israël peut vivre avec le nucléaire iranien.

Un Iran sanctuarisé n’attaquerait pas Israël, je l’ai dit, mais compter sur la rationalité de Khamenei (le vrai décideur) est compter sur quelque chose qui n’existe pas vraiment : Khamenei n’est pas un acteur pleinement rationnel : un article de Reuel Marc Gerecht dans le dernier numéro du Weekly Standard, The Most Dangerous Man in the World donne les détails.

Netanyahou n’ignore pas les sombres projets d’Obama (dénucléarisation régionale, volonté de reconnaissance d’un « Etat palestinien » dans les « frontières de 1967 »).

Une frappe israélienne contre l’Iran déboucherait sans doute sur une guerre plus vaste, et obligerait inéluctablement les Etats-Unis à s’impliquer. J’ai écrit qu’une fenêtre d’opportunité existait avant le 6 novembre, puisqu’Obama ne peut pas lâcher Israël avant l’élection, mais je pense utile de nuancer mon propos : une frappe avant le 6 novembre pourrait aussi renforcer les chances de réélection d’Obama. Les multiples émissaires envoyés par Obama en Israël pour demander au gouvernement israélien d’attendre et de ne rien faire pour le moment ont transmis un message d’hostilité à toute frappe, mais si des frappes avaient lieu quand même, Obama pourrait se déclarer au côté d’Israël, provisoirement, et compter sur le fait que l’électorat américain, quand le pays est en guerre, ne change pas de « commandant en chef », ce que montre l’histoire électorale.

Alors, une frappe juste après le 6 novembre ? Une autre issue ? Je l’ai noté : l’Iran soutiendra Assad jusqu’au bout, et les effets du conflit syrien commencent à peine à se faire sentir, ils pourraient fragiliser l’Iran et entraîner de multiples effets secondaires.

Un dernier point : la presse de gauche israélienne ces derniers jours a fait preuve d’une très grave irresponsabilité, et démontré que la gauche israélienne pouvait frôler la haute trahison. Des journaux comme Haaretz ont donné des dates possibles de frappe israélienne contre l’Iran, ce qui équivaut à tout faire pour déjouer une action israélienne et à donner des informations à l’Iran. Outre les dates de frappe, ces journaux ont prétendu dévoiler des éléments de stratégie israélienne concernant d’éventuelles frappes : cela frôle la haute trahison. Dans le passé, lorsqu’Israël a été confronté au danger et à des décisions délicates, un front uni se faisait face au danger. La gauche israélienne a perdu quasiment toute possibilité de gagner des élections en ayant défendu des politique qui se sont révélées délétères, et si elle devait passer de la crispation sur des positions délétères à des comportements allant dans la direction que je viens de décrire, je pense qu’elle en porterait une marque d’infamie pour longtemps. La marque d’infamie m’a semblé se dessiner ces derniers jours.

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Guy Millière pour
www.Dreuz.info

29 mai 2012, journal de France 2


Normal 1er parlant des mises au placard de MM. Gaudin, Péchenard et Squarcini :
Pour la police, "cela s'arrêtera là !", ajoutant qu'il n'entendait pas remplacer des fonctionnaires "qui ont été capables de mener des actions au nom de la France" et réfutant l'idée qu'il mènerait une "chasse" aux sorcières.

DOMMAGE !!!!

http://www.francetvinfo.fr/police-nouveau-depart-d-un-haut-responsable_123221.html

Seule explication : Flanby ne sait pas que le SPHP c'est la police !
Autre explication : Gilles Furigo n'a jamais fait, en 23 ans passés au SPHP, d'actions au nom de la France !
Les connaisseurs apprécieront...
 

Police : nouveau départ d'un haut-responsable

Des membres du Service de Protection des Hautes Personalités (SPHP) participent à une cérémonie marquant le 75ème anniversaire du SPHP, le 15 septembre 2010 au Musée de l'air et de l'espace du Bourget (Seine-Saint-Denis).

Des membres du Service de Protection des Hautes Personalités (SPHP) participent à une cérémonie marquant le 75ème anniversaire du SPHP, le 15 septembre 2010 au Musée de l'air et de l'espace du Bourget (Seine-Saint-Denis). (PATRICK KOVARIK / AFP)

 
Il avait la responsabilité de la garde rapprochée de François Hollande et de nombreuses autres personnalités. Gilles Furigo, le patron du Service de protection des hautes personnalités (SPHP), a été muté à l'IGPN, la police des polices, a appris l'agence Reuters jeudi 26 juillet de source policière.
Cette mutation, qui lui aurait été signifiée mercredi et qui peut être interprétée comme une forme de sanction, ne serait liée à aucune faute précise, précise Europe 1, qui a révélé l'information. Après 23 ans passé au SPHP, Gilles Furigo, 54 ans, est muté sans mission précise à l'IGPN, réputée comme le "cimetière des éléphants".

Et de quatre
Sa mutation fait suite à celle d'autres importants responsables policiers jugés trop proches de l'ex-président Nicolas Sarkozy, comme l'ex-patron de la police nationale Frédéric Péchenard, l'ancien chef des renseignements Bernard Squarcini et l'ex-préfet de police de Paris Michel Gaudin.
Le gouvernement a justifié ces changements par l'alternance. François Hollande les avait lui-même annoncés pendant sa campagne présidentielle. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a toutefois fait savoir qu'il n'avait pas l'intention de déstabiliser la maison "police".

FTVi avec Reuters

Tract

Le même tract aurait circulé au pays basque mais nous ne l'avons pas vu...
 
 

Elle est fraiche ma mosquée, elle est fraiche !

 
Avec l'interview du maraicher qui conteste la vente de cette parcelle communale qu'il souhaite continuer de cultiver, comme il le fait depuis 30 ans, tout en précisant que ses sympathies pour le FN pourraient expliquer cette décision défavorable de la mairie :
 


Et l'article de France 3 Alpes

http://alpes.france3.fr/info/annemasse-74--pas-de-mosquee-dans-mes-salades-75113020.html

Pour mémoire :Année après année, la croissance exponentielle du nombre de mosquées en France s’aggrave. Cette croissance a lieu grâce à la complicité des élus de tous bords qui malgré la loi de 1905 favorisent et financent la construction de mosquées.

1965 : 5 mosquées
1985 : 913 mosquées
1999 : 1536 mosquées
2010 : 2359 mosquées

Ce chiffre est supérieur !! à celui des États-Unis où le nombre de mosquées a pourtant augmenté de 74 % entre 2000 et 2010 (1209 mosquées en 2000 contre 2106 en 2010)
 

Annemasse : un terrain pour la mosquée

                                               Le terrain où devrait se construire la mosquée est actuellement cultivé par un maraîcher qui ne veut pas partir. 
Le terrain où devrait se construire la mosquée est actuellement cultivé par un maraîcher qui ne veut pas partir.
A la quasi unanimité, le conseil municipal a approuvé mardi 10 juillet la vente d'une parcelle au Brouaz au profit de l'association des musulmans d'Annemasse.


Des élus de la majorité (Robert Borrel) comme de l'opposition (Jean-Pierre Benoist, Louis Mermet) ont qualifié le moment "d'historique". Lors de sa séance, le conseil municipal affichait un profond oecuménisme républicain et un peu de solennité. Tout le conseil (à l'exception d'Anne Michel qui a voté contre) a approuvé la vente d'un terrain de 7 040 m2 pour 704 000 euros à l'association Centre culturel des musulmans d'Annemasse (CCMA). Situé à côté du rond-point reliant les avenues Mendès-France et Lachenal dans le quartier du Brouaz, le terrain est actuellement cultivé par le maraîcher Pierre Grandchamp. Ce dernier qui est locataire de la parcelle a engagé une procédure auprès du Tribunal des Baux ruraux pour contester son éviction de ce terrain.
Le Messager

Qui manipule Qui ??

Pour autant à L'Appel on se demande comment cette affaire est possible sachant que l'article présente une évidente contradiction :

- On nous dit qu'il s'agit d'une vengeance de l'assuré par rapport à la non-reconnaissance d'un accident du travail survenu en 2006 ;
- On nous dit aussi qu'il a perçu 120 000 de cet AT !! réinvestis pour adhérer à 73 mutuelles ;

Alors, nouvelle manipulation des me"R"dias ou coquille involontaire ?
S'il s'agit d'un accident du travail, dument reconnu, aucun frais n'est à la charge de la victime (médecin, infirmière, kiné, radios médicaments sont directement payés par la sécu) qui ne reçoit aucun remboursement mais une indemnité compensatrice du préjudice subi, sous la forme d'une rente ou d'un capital.

Cette info étant publiée dans plusieurs canards locaux (Var matin, la Provence) on partage pour que vous vous fassiez votre opinion car, pour nous, dans tous les cas c'est grave :

- Soit c'est vrai et c'est proprement scandaleux que de tels agissements puissent perdurer autant d'années à une époque où de nombreux français au-dessus du RSA et inéligibles à la CMU n'arrivent pas à se soigner correctement ni à souscrire une mutuelle !

- Soit c'est faux et c'est à désespérer du professionnalisme de nos journaleux qui, le plus souvent, se contentent d'alimenter le buzz sans aucun esprit critique ni vérification de la véracité des infos relayées par eux !


http://www.laprovence.com/article/a-la-une/adherent-a-73-mutuelles-pour-se-venger-de-la-secu

Adhérent à 73 mutuelles pour se venger de la Sécu

Il se faisait ainsi rembourser ses frais médicaux des dizaines de fois
De mars 2010 à mars 2011, le prévenu avait perçu 450 615 euros de remboursements.
Une vengeance contre la Sécurité sociale. C’est le "mobile" qu’a donné Chérif au juge d’instruction Franck Landou pour justifier son inscription auprès de 73 mutuelles dont 55 ont été sollicitées pour le remboursement de ses frais médicaux. De mars 2010 à mars 2011, cet Algérien, installé en France depuis longtemps, avait perçu 450 615 € de remboursements, bien au-delà des sommes déboursées en médicaments, consultations et frais d’hospitalisation.
Une "vengeance" pour la non-reconnaissance par la Caisse primaire d’assurance-maladie d’un accident du travail, en 2006, ayant déclenché chez lui une dépression majeure. Il travaillait dans le bâtiment lorsqu’un camion lui avait roulé sur le pied.  A-t-il pris la Sécu en grippe ? Voulait-il "faire payer" un système de santé qu’il estimait injuste envers lui ? En 2010, il fait usage sur internet de comparateurs de mutuelles et souscrit six premières adhésions pour en atteindre au final 73. S’estimant en droit de multiplier les contrats, il investit des sommes importantes pour devenir adhérent d’autant de mutuelles : 120 000 € dépensés en cotisations. Pour "amorcer la pompe", il a englouti le pécule versé pour son accident du travail et un emprunt.
En juin 2011, le parquet de Marseille est alerté par Tracfin, l’organe de lutte contre le blanchiment du ministère de l’Économie, de la perception sur les comptes bancaires de ce commerçant marseillais de remboursements pour plusieurs centaines de milliers d’euros. Le juge Franck Landou a qualifié de faux en écritures privées la petite cuisine de cet assuré social qui, avec un logiciel de retouche d’image, reproduisait et modifiait la mise en page de ses factures de santé. "Le but était de faire passer le document pour un original." Mais, estime son défenseur Me Lionel Febbraro, "il ne s’agit pas de faux puisqu’il n’a pas altéré la vérité".

On peut avoir plusieurs mutuelles mais pas se faire rembourser plus que ce qui a été déboursé.
Chérif se croyait dans son droit en sollicitant ces multiples remboursements. Le code de la mutualité n’interdit pas de multiples souscriptions mais prohibe la perception d’indemnités supérieures aux sommes déboursées. La première alerte retentit en mars 2011 lorsqu’une mutuelle, s’étant rendue compte de la multiplication des remboursements sollicités, menace d’une plainte. Il adresse alors une reconnaissance de dettes à tous les organismes s’engageant à rembourser dans un délai de six mois. Et, preuve de ce que son défenseur nomme "sa bonne foi", il joint un chèque de 2 000 €.
Remise en liberté refusée
Début juin, la division économique et financière de la police judiciaire s’empare de cette enquête et place en garde à vue un associé de Chérif dans son commerce de vêtements. Puis le principal intéressé qui se présente spontanément dans le but de dédouaner son ami. L’instruction vise désormais à vérifier son patrimoine et d’éventuelles opérations de blanchiment dans des circuits de compensation occulte en Algérie. C’est d’ailleurs pour mener ces investigations et démonter un éventuel "montage financier frauduleux" que la chambre de l’instruction de la cour d’appel a récemment refusé sa remise en liberté. Me Febbraro conteste l’argument des juges tenant au risque de fuite. "S’il avait dû s’enfuir, il l’aurait fait, ce qui n’est pas le cas compte tenu des liens qui l’unissent à la France : un enfant français, une compagne, un commerce implanté à Marseille."
Le juge Landou a très rapidement sollicité une expertise psychiatrique en raison des précédentes hospitalisations de cet homme de 45 ans. Si les troubles psychiques peuvent générer des comportements parfois violents, peuvent-ils être à l’origine de cette forme de délinquance astucieuse ? Cette fraude a été rendue possible par la décision du gouvernement de Nicolas Sarkozy privant les étrangers assurés sociaux du bénéfice du tiers payant. Auparavant les remboursements passaient par la Sécurité sociale qui transmettait aux mutuelles.Luc LEROUX

"Oyez, oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux !"

La guerre de 100 ans, revisitée pour les 100 jours du Roy Normal 1er...
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L'association des "Amis de Nicolas Sarkozy" déjà en ordre de marche sur Internet

Par Adrien Oster du Huffington Post
Plutôt discrète sur Internet depuis sa création, l'association est passée à la vitesse supérieure. Depuis le 7 août sur Facebook et le 10 sur Twitter, les petites mains de cette amicale sarkozyste multiplient les publications tout à la gloire de l'ancien président. Soignant la E-réputation de Nicolas Sarkozy à grand renfort de citations attribuées à des chefs d'État, responsables ou personnalités politiques et médias étrangers, l'association ne fait pas dans la demi-mesure.
Jugez plutôt:
En quelques jours, une trentaine de citations empruntes d'une courtoisie toute diplomatique ont été publiées, souvent extraites de conférences de presse bilatérales. Une rafale de louanges qui ne laisse guère place aux commentaires moins enjoués publiés par la presse durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Et si un rapide examen sur un moteur de recherche révèle que les citations sont bien authentiques, il indique que certaines sont quelque peu tronquées.
Par exemple, cette citation d'Angela Merkel:
Le 6 février dernier, Nicolas Sarkozy accueille la chancelière allemande à l'Elysée à l'issue d'un conseil des ministres franco-allemands. Interrogée à propos de son "amitié" pour Nicolas sarkozy et des échéances électorales françaises, la chancelière répond: "Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis". La différence est ténue mais aurait mérité d'être soulignée.

Conseil des ministres franco-allemand : "je... par BFMTV

D'autres citations, elles, n'auraient pas souffert d'un rappel du contexte.

On retrouve cette citation du président américain sur le site de l'Elysée dans le verbatim de la conférence de presse conjointe de Nicolas Sarkozy et de Barack Obama à Cannes le 03 novembre 2011.
À moins d'un an d'échéances électorales dans leurs pays respectifs, tandis que la France préside le G20 et accueille en grandes pompes les principaux dirigeants de la planète, les deux chefs d'Etat mettent de côté la relative inimitié qui avait animé les premiers moments de leur relation. Sur un ton très détendu, allant de poncifs en lieux communs, Barack Obama et Nicolas Sarkozy évoquent leurs familles respectives et plaisantent sur la naissance de Giulia Sarkozy...
En début de conférence de presse, saluant davantage la figure du Président de la République française que la personnalité de Nicolas sarkozy, Barack Obama -poli- indique: "Je dis souvent que la France est non seulement un de nos plus anciens alliés, mais un de nos alliés les plus proches et Nicolas Sarkozy, pour moi, est un partenaire essentiel sur la scène mondiale".
Même sur le site Internet des Amis de Nicolas Sarkozy, le bandeau présent sur toutes les pages montre, en fond, l'ex président français en train de rire avec Barack Obama, signe d'une très évidente complicité. Peut-être changera-t-il si, d'aventure, le président américain venait à ne pas être réélu.

amis
La presse mise à l'honneur avec des morceaux très choisis
Le compte twitter met également en avant des phrases tirées des journaux internationaux. Des phrases bien entendu très laudatives:
Pas de journaux français pour l'instant, donc. Pas de Financial Times non plus. Il faut dire que le quotidien financier britannique n'était pas en très bons termes avec le président de la république. Ils s'étaient d'ailleurs échangé des amabilités par télévision et blog interposés. Le FT titrant pendant la campagne présidentielle, à l'intention de Nicolas Sarkozy: "Oui, bon - nous ne vous apprécions pas non plus, Sarko".
"Un bras armé financier"
Présidée par Brice Hortefeux, ancien ministre et fidèle "lieutenant" de Nicolas Sarkozy, témoin de son premier mariage et parrain de son fils Jean, l'association des "Amis de Nicolas Sarkozy entretient -sans surprise- des liens étroits avec l'UMP. Ses statuts précisent d'ailleurs que l’association est hébergée au siège du parti qui a porté l'ancien chef de l'État à l'Elysée, au 238, rue de Vaugirard, dans le 15è arrondissement de Paris, notait Le Lab.
Autre lien avec l'UMP pour "L’Association de Financement des Amis de Nicolas Sarkozy", une seconde association dont les statuts ont été déposés le même jour et créée pour financer la première. Elle est présidée par Alain Joyandet, ex-secrétaire d’État et conseiller politique de l'UMP, et hébergée au cabinet de son trésorier Philippe Blanchetier, avocat de l'UMP. "Son objet n’a, cette fois, plus rien de politique, ni de l’amical, mais relève de la constitution d’un bras armé financier", écrit Le Lab, selon qui 'les Amis de Nicolas Sarkozy' vont pouvoir entrer dans le cadre défini par la législation sur le financement des partis politiques", et récoler des dons (limités à 7 500 euros par an et par personne), hors des simples cotisations de leurs adhérents.
Un statut qui permet également de présenter des candidats en vue d'échéances électorales notait le JDD. Un objectif pourtant éloigné de la volonté initiale de Brice Hortefeux, selon le journal. "On veut participer au jugement de l’histoire à travers la publication de tribunes et l’organisation de colloques", indiquait-il au JDD, refusant toute initiative "politique".
Des pros de la com' aux commandes
Autre lien avec l'UMP, indirect celui-là. La fiche d'identité du site amisdenicolassarkozy.fr renvoie à Agence Publics, une agence "conseil en communication d'influence, communication globale et évènementielle". La même qui avait été retenue pour assurer l'organisation matérielle des conventions UMP, qui avait conseillé l'UMP pour les dernières élections législatives, et qui avait organisé les meetings de Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle (au Trocadéro, à la Concorde et à Villepinte). Gérard Askinazi, le président et créateur d'Agence Publics, avait été fait chevalier de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy en octobre 2009.
Selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy aurait bien été tenté de se rendre à Nice pour saluer ses "Amis", mais l'ancien chef de l'État aurait finalement décidé de ne pas participer à la rencontre...